Selon l’avis partagé des participants, les difficultés liées à la faibles représentativité des femmes dans nos organisation politiques sont diverses. Pour certains il y’a les pesanteurs socio-culturelles qui a tendance à garder les femmes en arrière plan à cela s’ajoute la réticence ou plus loin encore la peur des femmes à se confronter aux hommes. Pour d’autres cela serait lié à l’éducation formelles et sociétales, le manque de soutient mutuel entre les femmes, etc.
Outre cet diagnostic qui visait à déballer les causes de la faible représentativité des femmes dans les institutions politiques, il était également nécessaire de proposer des solutions afin de reverser cette tendance et propulser les femmes au devant de la scène. Pour ce faire, le changement des mœurs ancestraux s’impose. il faut arriver à briser cette barrière de pensés féodales qui dit que la place de la femme c’est dans le foyer au côté de son homme et ses enfants. Aussi un soutient franche entre les femmes doit s’imposer. Pour cela il faudrait passer par les mouvements de sensibilisation massives. il faudrait également mener des plaidoyers auprès des détenteurs de décisions politiques afin qu’ils prennent les femmes en compte dans les institutions et les responsabiliser davantage.
Mme TOU/SOALLA Marceline, Présidente de l’association Action Commune pour le Bien-Etre de l’Enfant et de la Femme (ABEFAB).
Mme TRAORE/SANON Elise, Présidente de l’Association Cœur des Femmes Active pour le Développement (ACFAD)
La femme a son mot à dire et elle peut contribuer réellement au développement de notre pays, le coup de cœur des femmes.
En précision cette rencontre ne se limitera pas seulement qu’à l’arrondissement 6 mais s’étendre aussi dans les autres arrondissement tels que dans l’arrondissement N°3 de la commune de Ouagadougou dans les jours à venir.
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